par Jean-François Loiseau
publié le 28 octobre 2017, mis à jour le 26 janvier 2024
Charles Guilleboust, fils de Charles Guilleboust et de Jeanne Le Mesle, est baptisé le 21 mars 1609 en l'église Saint-Aubin de Tourouvre[1], un village du Perche situé dans le département de l'Orne en région Normandie (France) qui fut le principal foyer d'émigration percheronne vers la Nouvelle-France au XVIIe siècle. Charles Guilleboust vécut au hameau des Larrys à Tourouvre. Célibataire, il part au Canada en 1646, engagé comme domestique par Noël Juchereau, sieur des Châtelets. Quarante cinq autres concitoyens feront le voyage vers le Québec entre 1634 et 1663.
BIGOT Jean |
CHASTEL Thomine (~1600-?) |
FOURREAU Mathurin |
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⚭ 1630 La Ventrouze |
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⚭ 1632 La Ventrouze | ||||||||
GUILLEBOUST Charles (1609-1658) |
BIGOT Françoise (1631-1706) |
BIGOT Jean (~1632-1648) |
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⚭ 1647 Québec |
Charles Guilleboust épouse le 19 septembre 1647 à Québec, la jeune percheronne Françoise Bigot, de vingt deux ans sa cadette, fille de Jean Bigot et Thomine Chastel, originaire de La Ventrouze, un village limitrophe de Tourouvre. Trois enfants naîtront de cette union. Son contrat achevé, Charles Guilleboust deviendra lavandier à Québec (1656) et blanchisseur de l'église (1658). Charles Guilleboust décède le 11 février 1658 à l'Hôpital général de Québec. Il est inhumé le lendemain à Québec. Moins de trois mois après, sa veuve épouse en secondes noces à Québec Denis Brière avec qui les aura neuf enfants.
partis en Nouvelle-France aux XVIIe et XVIIIe siècles.
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